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Natixis Interépargne met à votre disposition une gamme complète d'outils de simulation.Ces outils d'aide à la décision vous accompagnent :

• dans la gestion et l'optimisation de vos dispositifs d'épargne salariale
• dans vos choix en matière d'investissement.

Simples et pratiques, ils vous renseigneront de manière claire et personnalisée en quelques clics. N'hésitez pas à les consulter, ils sont totalement gratuits et utilisables autant de fois que vous le souhaitez.

SIMPLE COMME… INVESTIR OU PERCEVOIR SA PARTICIPATION
Comparez les impacts fiscaux et financiers de l'investissement de votre participation avec ceux de sa perception immédiate.

SIMPLE COMME… DÉFINIR LE MONTANT DE VOTRE ÉPARGNE
Estimez les sommes à épargner mensuellement pour réaliser un projet de financement (par exemple, l'acquisition de votre résidence principale).

SIMPLE COMME… ESTIMER VOTRE RENTE
Vous avez investi dans le PERCO et envisagez de récupérer votre épargne sous forme de rente lors de votre départ à la retraite ? Déterminez le capital à constituer pour atteindre l'objectif de rente que vous visez ou estimez le montant de la rente que vous percevrez en fonction d'un capital donné au moment de votre départ en retraite et des options de rente que vous aurez choisies.

SIMPLE COMME… DÉTERMINER VOTRE PROFIL D'INVESTISSEUR
Déterminez, à partir de questions simples, le degré de risque que vous êtes prêt à accepter pour vos placements.

SIMPLE COMME… OPTIMISER VOS PLACEMENTS FINANCIERS
A partir des 3 classes d'actifs financiers (actions, obligations et placements monétaires), déterminez la combinaison adaptée à votre profil d'investisseur et à la durée de placement souhaitée.

COMMENT ACCÉDER AUX SIMULATEURS ?

Rendez-vous dans votre Espace Épargnants, rubrique : « Guide pratique > Outils et simulateurs »

Définir ses objectifs, anticiper l'imprévu, raisonner à long terme, gérer le risque, intégrer l'immobilier tout en conservant une partie de son patrimoine mobile, optimiser ses actifs, recourir le cas échéant au crédit, utiliser les nouveaux moyens d'information et de transaction : voici les principes fondamentaux d'une gestion de patrimoine équilibrée et performante.

• Placer en fonction de ses objectifs
  

  Ce n’est pas le produit qui doit déterminer le choix de placement mais la combinaison de l’âge et des objectifs associés. A chaque âge correspondent des préoccupations diverses.
  Ainsi les jeunes qui fondent leur foyer, préparent le plus souvent l’acquisition de leur résidence principale et constituent leur première épargne. De nombreux outils financiers peuvent les aider à atteindre leur objectif. Si le Plan d’Epargne Logement reste incontournable, les prêts bancaires première habitation pallient un apport en capital souvent limité. De même, les premiers apprentissages boursiers peuvent s’effectuer dans le cadre d’un club d’investissement ou par le biais d’un plan accumulation bourse qui minimisent le risque financier en lissant les prix de revient.
  Vers quarante ans, la famille est constituée voire recomposée, la résidence principale en tout ou partie payée. C’est l’âge idéal pour diversifier son patrimoine tout en essayant de réduire la fiscalité. A côté des produits financiers classiques tels que le PEA, citons les fonds innovation (FCPI) qui offrent au souscripteur une réduction d’impôt, dès l’année de l’investissement […]. En contrepartie, le souscripteur investit pour une durée minimum dans des sociétés jeunes non-cotées.
  A l’approche de la retraite, c’est le complément de revenus et d’aide aux enfants qui deviennent les priorités. L’assurance-vie avec rachats programmés répond au besoin complémentaire de revenus. Quant à l’aide aux enfants, elle peut s’appuyer sur diverses techniques, dont l’assurance-vie avec clause bénéficiaire au profit du jeune, ou la donation en pleine propriété ou démembrée. Les parents peuvent aussi accorder à leurs enfants un prêt familial sans intérêts ou leur céder la totalité de leur PEL, capital, intérêts, prime d’Etat et droits à prêts inclus, si bien que le jeune bénéficiera de plusieurs prêts, ceux des parents et le sien.

• Anticiper l'imprévu

  Une gestion avisée ne se limite pas à assurer les risques prévisibles, elle consiste aussi à se protéger contre les aléas de la vie susceptible d'affecter gravement le patrimoine. Alors que les assurances « automobile, habitation, pratique sportive » sont devenues systématiques, d'autres comme la prévoyance santé, la prévoyance invalidité, l'assurance complémentaire chômage et l'assurance-décès font l'objet, et à juste titre, d'une récente prise de conscience. Ainsi, la mise en dépendance d'un proche peut mobiliser les trois-quarts des revenus d'un foyer. De même, en cas de décès du chef de famille, il arrive que le conjoint survivant ne puisse assumer les charges quotidiennes permanentes (impôts, loyers, éducation des enfants…). Mieux vaut, alors, dans l'intérêt de ceux qui sont chers, envisager ces événements puis se couvrir par des régimes de prévoyance complémentaires au régime obligatoire de la sécurité sociale et éventuellement à ceux des conventions collectives.

• Savoir utiliser le facteur temps
  

  Le facteur temps permet de diminuer l’exposition au risque.
  Dans l’univers boursier, la réactivité ne doit pas être synonyme de précipitation. La démarche d’investissement doit s’effectuer dans la durée, progressivement, en s’adaptant aux fluctuations économiques et géopolitiques. Historiquement, les actions se sont avérées être le placement le plus rentable à long terme en comparaison aux obligations, à l’or, à l’immobilier de rapport et bien sûr aux placements monétaires. Généralement, sur le long terme, une rentabilité moyenne de 7% est attribuée aux actions, de 5% aux obligations et de 2% aux produits monétaires.
  Un regard à long terme est encore plus nécessaire face à un investissement immobilier qui souvent traverse les générations. Certains titulaires de patrimoine se contentent de conserver les biens qu’ils ont hérités. Si l’horizon de placement est cours, il faut naturellement préférer les produits sans risque de perte en capital et facilement négociables comme les livrets, les comptes à terme, les titres de créances négociables ou les OPCVM monétaires.

• Gérer le couple rendement / risque
  

  Le degré de prise de risque influence fortement la performance du patrimoine. Le risque est la contrepartie de l’espérance de rendement. En matière de gestion d’actifs, on distingue notamment le risque sectoriel, géographique, le risque de « market timing » lié à l’opportunité d’intervention sur les marchés.
  Devant la complexité et la multiplication des analyses, l’appréciation et la corrélation de ces risques est devenue une affaire de spécialistes. Les investisseurs particuliers ont intérêt à s’appuyer sur leurs conseillers, qui sont au cœur de l’information par le biais d’une gestion sous mandat, d’une gestion conseillée ou bien sûr d’une gestion en produits collectifs.
  Le plus difficile en bourse est de savoir vendre. Lorsqu’un placement s’accroît fortement, il est souvent préférable d’alléger son exposition, de prendre ses bénéfices quitte à se repositionner sur un investissement moins rémunérateur mais moins risqué. Mieux vaut supporter un manque à gagner qu’une perte réelle. A contrario, face à une déprime des marchés, il est fréquemment conseillé de tenir ses positions, voire de saisir des opportunités d’achat parmi des actifs souvent sous-évalués.

• Intégrer l'immobilier
  

  Le degré de prise de risque influence fortement la performance du patrimoine. Le risque est la contrepartie de l’espérance de rendement. En matière de gestion d’actifs, on distingue notamment le risque sectoriel, géographique, le risque de « market timing » lié à l’opportunité d’intervention sur les marchés.
  Devant la complexité et la multiplication des analyses, l’appréciation et la corrélation de ces risques est devenue une affaire de spécialistes. Les investisseurs particuliers ont intérêt à s’appuyer sur leurs conseillers, qui sont au cœur de l’information par le biais d’une gestion sous mandat, d’une gestion conseillée ou bien sûr d’une gestion en produits collectifs.
  Le plus difficile en bourse est de savoir vendre. Lorsqu’un placement s’accroît fortement, il est souvent préférable d’alléger son exposition, de prendre ses bénéfices quitte à se repositionner sur un investissement moins rémunérateur mais moins risqué. Mieux vaut supporter un manque à gagner qu’une perte réelle. A contrario, face à une déprime des marchés, il est fréquemment conseillé de tenir ses positions, voire de saisir des opportunités d’achat parmi des actifs souvent sous-évalués.

• Conserver une partie de son patrimoine mobile
  

  Au-delà du nécessaire volant de trésorerie, les placements mobiliers occupent une place grandissante dans le patrimoine. Grâce aux nouvelles technologies, l’information est quasiment instantanée et exige de ses acteurs une réactivité grandissante dans tous les domaines. Aujourd’hui certaines valeurs (ex. : warrants) sont mêmes devenues virtuelles offrant de forts effets de levier.
  Le développement des marchés a favorisé la titrisation des actifs, offrant une souplesse incontestable. Tel est le cas de la pierre-papier qui existe sous plusieurs formes : sociétés civiles de placement immobilier, sociétés foncières cotées en bourse, SICAV immobilière. Ces formules allient un montant d’investissement faible avec la possibilité de diversifier son patrimoine entre l’immobilier et l’habitation, de commerce ou de bureaux.

• Optimiser ses actifs
  

  La diversification demeure le meilleur moyen de valoriser son patrimoine sur le long terme. Selon des objectifs identifiés, une stratégie d’allocation d’actifs est à mettre en place, en fonction des différents horizons de placement. Une répartition s’impose entre les différentes classes d’actifs (immobilier, actions, obligations, liquidités) puis au sein même de chaque classe en tenant compte du poids des zones géographiques, des secteurs économiques…
  Les aspects juridiques et fiscaux participent aussi largement à l’optimisation d’un patrimoine. Mieux vaut privilégier des produits à fiscalité réduite comme l’assurance-vie, le PEA… Et choisir un régime matrimonial approprié à la situation de chacun.
  De même, aménager sa succession en amont permet de réfléchir sur la solution la plus adaptée pour préserver les intérêts du détenteur du patrimoine et de ses héritiers tout en optimisant le montage financier.

• Recourir le cas échéant au crédit plutôt qu'immobiliser son capital
  

  Recourir au crédit trouve utilement sa place au sein des stratégies patrimoniales. Lors de l’achat d’une résidence principale, le crédit permet de disposer d’une d’une somme complémentaire à l’apport personnel et donc d’acquérir un bien plus grand, plus rapidement ou de meilleure qualité. Par ailleurs le coût du crédit est souvent comparé au coût d’une location à fonds perdus. Les faibles niveaux actuels des taux d’intérêt à long terme rendent particulièrement attractifs les financements par emprunts.
  Lors d’un investissement locatif, les intérêts d’emprunts peuvent être déductibles des revenus fonciers sous certaines conditions, entrainant une réduction de l’assiette des revenus fonciers imposables.

• Utiliser les nouveaux moyens d'informations et de transactions
  

  Le service de banque à distance est aujourd’hui adapté non seulement à tous ceux qui souhaitent simplifier la gestion courante mais aussi à ceux qui gèrent de manière active leurs avoirs. De façon plus générale, l’utilisation d’internet renforce l’interactivité des investisseurs.

• Equilibrer son patrimoine est le maître mot d'une bonne gestion
  

  Tous types d’investissements ont leur place dans un patrimoine, encore faut-il les utiliser à bon escient et au bon moment. Le recours à un bilan patrimonial est alors une méthode efficace d’aide à la décision. Au-delà d’un aspect purement fiscal que chacun peut étudier lors de ses déclarations, il couvre tous les domaines juridique, financier, immobilier et d’assurances.

Source : Jacques Stoupel, Patrimoine Courrier Trimestriel – CIC Banque Transatlantique

Vous souhaitez allez plus loin en matière de gestion de patrimoine ?

Vous pouvez utilement consulter la vidéothèque du site de la Finance pour tous (Questions de patrimoine) sur les sujets suivants :

• Quelles précautions prendre avant d’investir ?
• Quelques conseils pour gérer son argent ?
• Comment bien transmettre son argent à ses enfants ?

HP a désigné la Banque Transatlantique pour gérer ses plans de stock-options, et d'attribution d'actions gratuites. La Banque Transatlantique met à votre disposition son expertise, fondée sur le savoir-faire et les compétences pluridisciplinaires de ses conseillers. À ce titre, vous bénéficiez d'une aide personnalisée et fiscale.

Le Département StockPlan de la Banque Transatlantique a pour principales missions de :

• Vous informer avant toute opération de l’environnement de fonctionnement des Plans,
• Prendre en charge vos instructions concernant la vie des titres que vous avez préalablement exercés et reçus sur votre compte à la Banque Transatlantique,
• D’établir les obligations déclaratives à destination de l’administration fiscale pour vous-même et les Sociétés HP France, HP Centre de Compétences France et HP Enterprise Services France.

La Banque Transatlantique a élaboré un mode opératoire ayant pour objectif de vous guider de façon pratique dans vos transactions, en complétant les informations que vous recevez par ailleurs d'HP lors de l'attribution de vos options et PRUs / RSUs. Vous pouvez y accéder au sein de l'espace protégé :
https://www.transat-plan.com